“Revisitant des thèmes comme Ghost et Mother d’ALBERT AYLER, Vigil et Love de COLTRANE, mais aussi le Nefertiti de WAYNE SHORTER, DAUNIK LAZRO convoque ses fantômes et avec un mélange inédit de ferveur lyrique et de sérénité mélancolique, signe un hymne bouleversant au jazz de son adolescence” (STEPHANE OLLIVIER / 4* Jazz Magazine)