Orkhestra International

LOUIS HAYES, batterie / DEZRON DOUGLAS, contrebasse / RICK GERMANSON, piano / JEREMY PELT, trompette / VINCENT HERRING, saxophone alto / CORY WEEDS, saxophone ténor

Issu du terreau musical particulièrement fertile de la ville de Detroit dans les années 50, le batteur LOUIS HAYES fit ses armes auprès de YUSEF LATEEF, KENNY BURRELL ou DOUG WATKINS, peu avant d'être embauché à New York et à l'âge de 18 ans par le quintette d'HORACE SILVER. Il délaissera ce dernier pour servir un nouveau mentor, CANNONBALL ADDERLEY dans les années 60. L'enregistrement de son quintette, capté à Vancouver en décembre 2013, rend bien sûr hommage à son ex-employeur.

JOEL HAYNES, batterie / SEAMUS BLAKE, saxophone / TILDEN WEBB, piano / NEIL SWAINSON, contrebasse

Enregistré à Vancouver le répertoire du 3e disque de cet extraordinaire batteur de Toronto comprend compos originales et reprises (dont le Tomorrow Never Knows des BEATLES).

CHRIS HAZELTON, orgue Hammond B3 / BRETT JACKSON, saxophone baryton / JAMIE ANDERSON, guitare / JOHN KIZILARMUT, batterie / PAT CONWAY, congas

Hommage indirect à EVERETTE DEVAN, SELENO CLARKE ou l’incomparable DR. LONNIE SMITH, le nouvel album de CHRIS HAZELTON nous rappelle ce que les combos dits jazz organ sont par tradition : une musique de club (ici à Kansas City) et du bout de la nuit. Les incouchables s'en délecteront.

XAVER HELLMEIER, batterie / JEREMY PELT, piano / DAVID HAZELTINE, piano / PETER WASHINGTON, contrebasse / ERIC ALEXANDER, saxophone ténor

Elève de JOE FARNSWORTH qui lui attribua le surnom cocasse de X-Man (d'après la série-culte), le batteur germanique a joué, prestigieux palmarès, en compagnie de JESSE DAVIS, ERIC ALEXANDER, MIKE LEDONNE, HAROLD MABERN, JOHN MARSHALL, JIM ROTONDI, DAVID HAZELTINE et PETER BERNSTEIN. Répertoire hard bop enlevé dans le style des prestigieux albums Blue Note des années 60. 

Avec SCOTT ROBINSON, KURT ROSENWINKEL, NOAH PREMINGER, FRANK CARLBERG, DAN WEISS, etc

Après Night Devoid Of Stars (2020), Open Spaces nous invite à de nouvelles variations sur des chansons populaires et ballades ayant bercé l’enfance de DANIEL HERSOG. “Entre hymnes, paysages pastoraux et narrations cinématiques, sa musique frappe d’un éclat qui n’épuise jamais l’auditeur. Bien que d’une méticuleuse précision, son écriture vise toujours la plus grande efficacité possible (…) Des fragrances mélancoliques traversent ce disque, en particulier lors d’un solo de SCOTT ROBINSON, ou lorsque HERSOG fait chanter ses musiciens” (LUDOVIC FLORIN / Choc Jazz Magazine)