Catalogue > Recherche : "SH101"

Orkhestra International

GOLDEN RETRIEVAL

Départementale 985

  • CD
  • Musiques Nouvelles
  • 2021
  • Ayler Records
  • Réf. AYL 170
  • Code OCD/P
  • 17.50 € TTC
 GOLDEN RETRIEVAL, Départementale 985
FRED POULET, voix, textes / GILLES CORONADO, guitares, compositions / SARAH MURCIA, synthétiseur SH101

“ (…) Un homme roule dans la nuit, s'arrête dans un hôtel, une chambre banale, il fait le poirier sur le lit, prend un whisky sur le zinc du bar. La France des villages, l'ennui des samedis soir. Une soirée karaoké où « les mots changent de couleur quand on les chante », et la rencontre avec une adolescente, Jennifer (…) A la croisée de la performance vidéo (visuellement superbe), du concert rock, et du journal intime, Départementale 985 ne ressemble à rien de ce qu'il nous a été donné de voir” La bande-son de ce spectacle créé en 2006 restait inédite. ”Elle partage quelques obsessions avec Substitute : la solitude, l'attente déçue, la non-rencontre. Les chansons oscillent entre l'avant-garde et la bluette, c'est la marque de fabrique de FRED POULET, et ce qui le rend si singulier dans le panorama du rock français” (FRANÇOIS-XAVIER GOMEZ / Libération) Un premier album du duo avait été enregistré en 2002 pour le label Signature. Voici le second, jusqu'ici inédit, enregistré en 2006.


SARAH MURCIA

Never Mind The Future

4 Étoiles JazzmanLe Nouvel Observateur

  • CD
  • Jazz / Improvisation
  • 2016
  • Ayler Records
  • Réf. AYL 149
  • Code OCD/P
  • 17.50 € TTC
SARAH MURCIA, Never Mind The Future
SARAH MURCIA, contrebasse, chant, SH101 / BENOIT DELBECQ, piano / MARK TOMPKINS, chant / OLIVIER PY, saxophones / GILLES CORONADO, guitare / FRANCK VAILLANT, batterie, percussions

Reprise de l'album Never Mind The Bollocks des SEX PISTOLS. Le groupe de SARAH MURCIA, CAROLINE, profite de l'ajout du pianiste BENOIT DELBECQ comme du danseur / crooner MARK TOMPKINS. “Les explosions de colère des uns et des autres font gicler les notes par grosses grappes. La voix lorgne du côté de LOU REED et le ton très british me fait penser au groupe RIP RIG + PANIC, héritiers post-punk tirant vers le free jazz (…) Ce projet suffisamment intemporel pour que l'on s'en échappe montre que No Future n'est pas l'apanage d'une époque, mais l'expression d'un désespoir qui touche la jeunesse d'aujourd'hui comme celle de la fin des années 70. La médiocrité de la classe moyenne est égale à elle-même. Les textes des chansons attaquent la monarchie britannique, évoquent l'anarchie ou l'avortement en termes crus que la musique développe sans anachronisme. MURCIA a compris que le futur était une vue de l'esprit et qu'il faut avoir les pieds sur Terre, ici et maintenant, pour résister et se donner les moyens de ses rêves.” (JEAN-JACQUES BIRGÉ / Mediapart)


© Graphisme & développement S. Celotti