TASHA SMITH GODINEZ, harpe
“Capable de brosser d'amples camaïeux harmoniques proches du meilleur GAVIN BRYARS, le New-Yorkais MICHAEL BYRON est aussi l'auteur d'œuvres nettement plus dynamiques, qui trouvent le dosage idéal entre folie mécaniste et virtuosité intelligente.” (RICHARD ROBERT). Cette pièce pour harpe solo de 22', au mouvement perpétuel rappelant celles interprétées au qin, cithare chinoise à cordes pincées, dont jouent les lettrés au Pays du soleil levant, est à rapprocher d'un genre intimiste où l'ouïe de l'auditeur s'affine pour imaginer les notes suggérées à celles qui sont émises. Une écoute qui débouche sur un grand calme intérieur.