Orkhestra International

Dark Wind est une composition de JOHN LUTHER ADAMS pour clarinette basse (MARTY WALKER), vibraphone, marimba et piano. Les autres pièces (de RICK COX, MICHAEL JON FINK et JIM FOX) mixent interactivement les sonorités du quatuor à cordes et des clarinettes. Une belle respiration comme un parfait complément à la compilation Cold Blue.

TASHA SMITH GODINEZ, harpe

“Capable de brosser d'amples camaïeux harmoniques proches du meilleur GAVIN BRYARS, le New-Yorkais MICHAEL BYRON est aussi l'auteur d'œuvres nettement plus dynamiques, qui trouvent le dosage idéal entre folie mécaniste et virtuosité intelligente.” (RICHARD ROBERT). Cette pièce pour harpe solo de 22', au mouvement perpétuel rappelant celles interprétées au qin, cithare chinoise à cordes pincées, dont jouent les lettrés au Pays du soleil levant, est à rapprocher d'un genre intimiste où l'ouïe de l'auditeur s'affine pour imaginer les notes suggérées à celles qui sont émises. Une écoute qui débouche sur un grand calme intérieur.

Music of Nights without Moon or Pearl and Invisible Seeds est dédiée au compositeur JAMES TENNEY. Entrances, composition pour quatre pianos, est interprétée par DAVID ROSENBOOM. Ces deux œuvres à l’expression nettement plus enjouée, comparées au reste du catalogue Cold Blue, s’inscrivent dans un juste équilibre entre “folie mécaniste et virtuosité intelligente”.

WILLIAM WINANT, TONY GENNARO, MICHAEL JONES et SCOTT SILAR, percussions / VICKY RAY, ARON KALLAY et LISA MOORE, piano

“Capable de brosser d'amples camaïeux harmoniques proches de ceux de GAVIN BRYARS, le New-Yorkais MICHAEL BYRON est aussi l'auteur d'œuvres accomplissant le dosage idéal entre folie mécaniste – ainsi on a comparé ses pièces aux mobiles de CALDER - et virtuosité intelligente.” (RICHARD ROBERT). De style épuré et minimaliste, écrites pour piano à quatre mains et percussions au milieu des années 70 (une période étrangement sous-documentée du compositeur), les six compositions principales d’Halcyon Days traduisent une transcendance élégante, quasi-immobile, vraie musique d’ameublement du Nouveau Monde en appelant au Music for Airports de BRIAN ENO. Raccordée pour sa démarche comparable à ce gros-œuvre, la composition pour piano Tender, Infinitely Tender est de facture plus récente (2016).

SARAH CAHILL, piano & LE FLUX QUARTET

« Capable de brosser d’amples camaïeux harmoniques proches du meilleur GAVIN BRYARS (Continents of City and Love, Tidal), le New-Yorkais MICHAEL BYRON est aussi l’auteur d’œuvres nettement plus dynamiques, qui trouvent le dosage idéal entre folie mécaniste et virtuosité intelligente (les pianos heurtés de Evaporated Pleasure, les stances répétitives de Awakening at the Inn of the Birds). Quant au piano nu de As She Sleeps, il trouverait parfaitement sa place dans un recueil de SYLVAIN CHAUVEAU. » (RICHARD ROBERT)