"De KAORU ABE, on dira qu'il s'époumonnait au saxophone comme ALBERT AYLER s'il avait souffert de trous de mémoires, et qu'il crachait ses tripes comme seul CHICAGO BEAU et JULIO FINN en explorèrent les méandres. Le portrait d'un artiste halluciné du free-jazz japonais cramé par tous les bouts" (Les Inrocks).